
20h30 – Dans les salles des fêtes | |
Vendredi 20 juin | La Chapelle Agnon |
Samedi 21 juin | St Germain l’Herm |
Mercredi 25 juin | Bort l’Etang |
Samedi 28 juin | St Victor Montvaineix (La Grange – Le bourg) |
Mardi 1er juillet | St Dier d’Auvergne |
Vendredi 4 juillet | Félines |
- Long métrage français
- 2h06 - 2025
- Genre : Comédie dramatique
- Réalisé par Cédric Klapisch
- Avec Suzanne Lindon, Abraham Wapler, Vincent Macaigne, Julia Piaton, ...
- Public : Adultes et adolescent.e.s
Résumé
Aujourd’hui, en 2025, une trentaine de personnes issues d’une même famille apprennent qu’ils vont recevoir en héritage une maison abandonnée depuis des années. Quatre d’entre eux, Seb, Abdel, Céline et Guy sont chargés d’en faire l’état des lieux. Ces lointains « cousins » vont alors découvrir des trésors cachés dans cette vieille maison. Ils vont se retrouver sur les traces d’une mystérieuse Adèle qui a quitté sa Normandie natale, à 20 ans. Cette Adèle se retrouve à Paris en 1895, au moment où cette ville est en pleine révolution industrielle et culturelle. Pour les quatre cousins, ce voyage introspectif dans leur généalogie va leur faire découvrir ce moment si particulier de la fin du XIXe siècle où la photographie s’inventait et l’impressionnisme naissait. Ce face à face entre les deux époques 2025 et 1895 remettra en question leur présent et leurs idéaux et racontera le sens de : La venue de l’avenir.
Les critiques
Bande à part : » Il règne dans ce film une bonne humeur contagieuse, un appétit, une joie de faire revivre cette fascinante transformation du monde, qui explique par bien des aspects la frénésie de nos sociétés actuelles. » Anne-Claire Cieutat
FranceInfo Culture : » Un film solaire, beau comme un tableau. » Valérie Gaget
Le point de vue Ciné Parc
Cédric Klapisch a toujours été fasciné par le Paris de la fin du XIXe siècle. Son tout premier court-métrage, Ce qui me meut, s’y déroulait déjà. L’idée de faire un film en costumes et de rendre hommage à cette époque lui trottait dans la tête depuis longtemps. Ce projet était aussi l’occasion de concrétiser sa passion pour les photographes comme Atget, Marville ou Nadar, qui ont figé sur pellicule un Paris disparu. La Venue de l’avenir est ainsi née d’un désir profond de mêler histoire intime et grande Histoire. L’écriture du scénario a commencé par une semaine en Normandie avec Santiago Amigorena. Ensemble, le cinéaste et son co-scénariste ont arpenté les musées (Orsay, Marmottan, Le Havre, Honfleur…) et se sont plongés dans la littérature de l’époque. Le roman Scènes de la vie de bohème d’Henri Murger a particulièrement nourri leur travail. Cette démarche documentaire a nourri de nombreuses scènes du film, donnant au récit une assise historique crédible.