
20h30 – Dans les salles des fêtes | |
Vendredi 12 septembre | La Chapelle Agnon |
Samedi 13 septembre | Sauvessanges |
Mardi 23 septembre | St Dier d’Auvergne |
Jeudi 25 septembre | Le Vernet la Varenne |
Mardi 30 septembre | Lezoux (médiathèque intercommunale) |
- Long métrage français
- 1h28 - 2025
- Genre : Comédie
- Réalisé par Quentin Dupieux
- Avec Adèle Exarchopoulos, Jérôme Commandeur, Sandrine Kiberlain
- Public : Adultes et adolescent.e.s avec avertissement
Résumé
Magalie est une star du web hors sol et sans morale qui gagne des fortunes en postant des contenus choc sur les réseaux. Après un accident grave survenu sur le tournage d’une de ses vidéos, Magalie s’isole à la montagne avec Patrick, son assistant personnel, pour faire un break. Une journaliste détenant une information sensible commence à lui faire du chantage… La vie de Magalie bascule.
Les critiques
France Info Culture : « On retrouve la patte du réalisateur. Ce mélange d’absurde, de comique de répétition, et des dialogues bien écrits qui sonnent comme des séances de défoulement salvatrices. Quentin Dupieux renoue ici avec le pastiche du film d’horreur, qu’il conjugue habilement avec le registre comique. » Augustin Pietron-Locatelli
La Tribune Dimanche : « Dupieux se régale une nouvelle fois de ce mélange détonant d’histoire policière et de fable sociologique, de thriller en l’occurrence sous la neige et de farce macabre. […] C’est d’abord l’absurdité qui règne ici en maîtresse absolue, faisant de chaque personnage un condensé de grotesque et de baroque. » Aurélien Cabrol
Le point de vue Ciné Parc
Adèle Exarchopoulos est devenue une figure incontournable du « Dupieux-verse ». Après Mandibules et Fumer fait tousser, elle retrouve ici un rôle central dans un univers encore plus absurde. Dupieux apprécie sa capacité à naviguer entre réalisme et grotesque, une qualité rare selon lui. Adèle Exarchopoulos s’est livrée à un jeu de composition radical. Elle porte un plâtre au bras, une minerve, un appareil dentaire et même une perruque raide lui donnant un air presque caricatural. Le but : incarner la « victime médiatique parfaite », manipulée par son entourage. L’actrice raconte que certaines scènes étaient tournées dans une chaleur étouffante avec tous ces accessoires, ce qui renforçait l’absurdité de la situation et le décalage voulu par le réalisateur.
Avant-programme
Film précédé d’un court métrage : La table / Eugène Boitsov / Animation / France / 2024