
20h30 – Dans les salles des fêtes | |
Vendredi 24 janvier | La Chapelle Agnon |
Samedi 25 janvier | Sauvessanges (salle paroissiale) |
Samedi 1 février | St Germain l’Herm |
Mardi 4 février | St Dier d’Auvergne |
Mercredi 5 février | Puy Guillaume |
Vendredi 7 février | St Jean d’Heurs |
- Long métrage français
- 1h33 - 2024
- Genre : Comédie dramatique
- Réalisé par Jennifer Devoldere et par Cécile Sellam
- Avec Joachim Arseguel, José Garcia, Aure Atika
- Public : Adultes et aloescent.e.s
Résumé
Colin, 14 ans, fait son entrée dans un nouveau collège et il flippe : comment s’en sortir quand, comme lui, on est bègue ? Sa rencontre avec Monsieur Devar-seau, charismatique prof de français, va le pousser à affronter ses peurs et sortir de son isolement. Maintenant Colin a une bande de copains et un projet : mon-ter sur scène pour jouer Cyrano devant toute l’école.
Les critiques
L’Obs : « […] le mélange assumé entre « le Cercle des poètes disparus » et « Billy Elliot » surprend agréablement grâce à la mise en scène fluide de l’autrice de « Sage-homme ». Son regard sans insistance fait mouche, surtout lorsqu’il se pose sur ses acteurs, le prometteur Joachim Arseguel, ainsi que José Garcia, excellent en prof faillible et engagé. » Xavier Leheurpeur
Télérama : « Face à un casting adolescent joliment disparate, le talent naturel de José Garcia envahit l’espace. Pas un pic, ni une péninsule, donc, mais un film attachant, qui, grâce au charisme d’un grand comédien, finit par toucher. » Guillemette Odicino
Le point de vue Ciné Parc
A l’origine, Le Panache est un seul-en-scène de Nicolas Devort, intitulé Dans la peau de Cyrano. La cinéaste se rappelle : »Quand j’ai vu le spectacle, j’ai trouvé qu’il faisait écho à des choses très personnelles, à des thématiques qui me sont chères comme l’acceptation de la différence, la transmission entre générations, trouver sa place, et que l’histoire de Colin était universelle. C’était la première fois que Cécile, ma co-scénariste et moi-même adaptions une œuvre existante et la tâche s’est révélée plus ardue que je ne l’aurais cru. Nicolas Devort campe tous les personnages dans un décor unique totalement dépouillé. Il a fallu trouver comment amplifier cette histoire, lui donner sa dimension cinématographique, tout en conservant l’état d’esprit initial de la pièce. » Le Panache fait directement référence à l’univers de l’enfance de Jennifer Devoldere, aux personnages et aux récits initiatiques des teen movies qui l’ont marquée, comme L’Effrontée, Diabolo menthe, Stand By Me, Liberty Heights et bien sûr Le Cercle des poètes disparus : « Le final de David Devarseau est un hommage direct au film de Peter Weir. Comme Keating, Devarseau révèle les jeunes à eux-mêmes et éveille leur conscience. Il va transformer leur vision des choses et marquer à jamais leur vie. Mais je crois que la comparaison s’arrête là.
Avant-programme
Film précédé d’un court-métrage : Eté 96 – Mathilde Bédouet – Animation – France – 2023