
20h30 – Dans les salles des fêtes | |
Jeudi 11 septembre | St Amant-Roche-Savine |
Jeudi 18 septembre | Arlanc |
Vendredi 19 septembre | St Jean des Ollières |
Mardi 23 septembre | Olliergues |
Mercredi 24 septembre | Vic le Comte (Halle du jeu de paume) |
Jeudi 25 septembre | St Georges Lagricol |
Vendredi 26 septembre | St Jean d’Heurs – SOUS RESERVES |
- Long métrage français
- 1h44 - 2025
- Genre : Thriller
- Réalisé par Peter Dourountzis
- Avec Sami Bouajila, Mallory Wanecque, Jean-Pierre Darroussin
- Public : Adultes et adolescent.e.s
Résumé
Samuel, journaliste, et Ava, sa fille et stagiaire, couvrent pour leur magazine le meurtre d’une jeune fille attaquée à l’acide. Frappé par la brutalité de ce meurtre, ainsi que par l’intérêt de sa fille pour l’affaire, Samuel décide de mener une enquête indépendante, à l’insu de sa rédaction, et découvre des similitudes troublantes avec le meurtre d’une autre femme…
Les critiques
Diverto : « Un film qui choisit… de ne pas choisir, mêlant de manière originale, parfois déconcertante, le journalisme à l’enquête, les reporters aux suspects, dans une sorte de road movie sur les routes de l’est de la France qui devient rapidement un très bon film de genre. » La rédaction
Le Figaro : « Avec Rapaces, Peter Dourountzis s’inscrit dans la grande tradition du polar social à la française, de Dominik Moll et sa Nuit du 12 à Une affaire d’État d’Éric Valette en passant par le Mille milliards de dollars de Verneuil. » Olivier Delcroix
Le point de vue Ciné Parc
Après son premier film Vaurien, Peter Dourountzis reçoit un script basé sur l’affaire Kulik, écrit par Christophe Cantoni. Bien que fasciné par l’univers de la rédaction de Détective, il rejette l’approche initiale. Il propose de repartir de zéro : nouvelle intrigue, nouveaux enjeux, même s’il conserve l’idée du fait divers comme moteur du récit. Le projet devient alors une réflexion intime sur la violence, l’enquête, et la filiation. Peter Dourountzis a choisi de faire des journalistes de Détective les héros de son film pour contrer le mépris ambiant envers ce magazine. Il confie : « Lorsque vous imaginez un détective de cinéma ou de roman, il y a de fortes chances pour que vous repensiez à Philip Marlowe, Mike Hammer ou Sam Spade. Du début des années 30 à la fin des années 70, ces héros américains ont formaté la figure de l’enquêteur solitaire. Pourtant, l’un des détectives les plus captivants est né en 1928, et il est français. Henri La Barthe l’a imaginé de toutes pièces, et son détective à lui n’est pas un homme, mais un journal. À son heure de gloire, Détective tirait à 400.000 exemplaires par semaine ! »
Avant-programme
Film précédé d’un court métrage : Je ne suis pas / Valentine Zang / Animation / France / 2024