
20h30 – Dans les salles des fêtes | |
Samedi 19 avril | St Germain l’Herm |
Jeudi 24 avril | St Georges Lagricol |
Vendredi 25 avril | Vertolaye |
Mardi 29 avril | St Dier d’Auvergne |
Mercredi 30 avril | Vic le Comte |
Vendredi 02 mai | St Jean d’Heurs |
- Long Métrage français
- 1h43 - 2025
- Genre : Drame
- Réalisé par Antoine Chevrollier
- Avec Sayyid El Alami, Amaury Foucher, Damien Bonnard
- Public : Adultes et adolescents
Résumé
Willy et Jojo, deux ados inséparables, passent leur temps à chasser l’ennui dans un petit village au cœur de la France. Ils se sont fait une promesse : ils partiront bientôt pour la ville. Mais Jojo cache un secret. Et quand tout le village le découvre, les rêves et les familles des deux amis volent en éclat.
Les critiques
Marie Claire : « Bouleversant du début à la fin, « La Pampa » est l’un des meilleurs films vus ces dernières années abordant l’adolescence au même titre que la masculinité toxique. » Pauline Weiss
Les inrockuptibles : « Outre la justesse du jeu des acteurs, le film multiplie les déviations avec une vraie grâce, se joue des faux-semblants et finit par atteindre une densité tragique assez bouleversante. » Bruno Deruisseau
Le point de vue Ciné Parc
Si La Pampa est le premier long-métrage d’Antoine Chevrollier, il a fait ses gammes à la télévision, en réalisant notamment plusieurs épisodes du Bureau des Légendes et de Baron Noir. Ensuite, Disney lui a proposé de mettre en images l’histoire de Malik Oussekine sous forme de série, et c’est durant ce projet qu’il a songé à La Pampa, comme il l’explique : « Est-ce qu’on allait m’autoriser à filmer ce qui est indispensable à mes yeux ? C’est une question que je me pose beaucoup et dès l’écriture […] Sur La Pampa, je me suis demandé comment singulariser un propos qu’on a déjà vu cent fois : le coming-of-age, la masculinité toxique, etc. La réponse se trouve, je crois, dans mes personnages, dans leurs trajectoires. » Antoine Chevrollier compare son travail à la mise en scène à « un trait direct ». Il souhaitait également ne pas influer sur l’émotion du spectateur et le laisser libre d’être ému lorsqu’il le souhaite. Son credo ? La sobriété et la pudeur. Une ligne directrice que le réalisateur utilise également dans sa direction d’acteurs, « dépouillée d’artifices ». En revanche, la lumière, les mouvements et les focales contrastaient volontairement avec cette sobriété et devaient avoir une « forme d’amplitude, pour charger le film de l’intensité que les personnages traversaient. »
Avant-programme
Film précédé d’un court métrage : Louis 1er roi des moutons – Markus Wulf – Allemagne – Animation – 2022